Une collaboration entre l’Institut des Sciences Moléculaires d’Orsay, l’Institut FEMTO-ST de Montbéliard et l’Institut de Science des Matériaux de Mulhouse, a permis de concevoir un dispositif composé de quatre boîtes quantiques dont l’état électronique (passant ou bloqué) peut être contrôlé à l’aide de la pointe d’un microscope à effet tunnel. En réalisant des simulations numériques utilisant la théorie de la fonctionnelle densité, les chercheurs ont montré que la charge supplémentaire issue des dopants se répartit dans les boites quantiques de manière anisotrope, permettant de créer des motifs fonctionnalisés.
Ces travaux sont parus dans la revue Nature Communication.